Cet exode massif constitue néanmoins du pain béni pour les applications made in Africa, dont certaines, bénéficiant d’un soudain élan de « consommons local », ont vu leurs bases d’utilisateurs grimper en flèche. C’est le cas notamment de Dikalo Messenger, conçue par le Camerounais Alain Ekambi.
« On a enregistré un trafic massif tout d’un coup, les gens sont venus parce qu’ils cherchent des alternatives et qu’ils sont concernés par la question de la confidentialité », confie-t-il. Aux promoteurs africains maintenant de profiter de la situation pour améliorer et élargir leurs services, et pour les populariser.
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